Le ministère de l'Education nationale empiète sur les départs à la retraite des personnels de l'éducation - Topocad _ Ta3lim nett

Le ministère de l'Education nationale empiète sur les départs à la retraite des personnels de l'éducation

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Face à la terrible pénurie que connaît le secteur de l'éducation depuis des années, et face au gouvernement qui « achève les acquis historiques de la classe ouvrière : éducation, santé et sécurité sociale, le ministère de l'Éducation nationale et de la Formation professionnelle a publié un mémorandum le 21 avril 2016 concernant les conditions permises aux femmes et aux hommes en éducation et aux travailleurs du secteur de demander La retraite relative dépend dans son renvoi du mémorandum publié l'an dernier, le 1er avril 2015, qui à son tour est approuvé dans son renvoi sur la arrêté du ministre de l'éducation nationale n° 13 0 3362 du 19 novembre 2013.
En jetant un coup d'œil rapide à ce mémorandum, il devient clair :
premièrement, que le ministère est sur le point de supprimer le chapitre quatre de la loi n° 71. 011 du 12 Dhu al-Qi`dah 1391 (30 décembre 1971) selon laquelle le système de pensions civiles a été instauré, Journal Officiel n° 1087 bis du 31 décembre 1971 p. 3396, qui stipule : Le bénéfice des employés et des employés qui
ont passé 21 ans.
Les salariées, salariés hommes et femmes, ayant passé en service actif pendant une période d'au moins quinze ans, en bénéficient.
Le tout dans la limite du nombre annuel fixé à 15% du nombre de postes inscrits au budget de chaque corps, ce nombre pouvant être déterminé dans un pourcentage supérieur également mentionné au chapitre 5 de la même loi.
Dès lors, la question se pose
: le ministère a-t-il le droit d'annuler et de supprimer un dahir par décision ministérielle ?
A-t-il le droit d'utiliser deux poids deux mesures, en supprimant les exigences susmentionnées aux paragraphes 1 et 2 des chapitres 4 et 5, et en maintenant 30 ans de service actif ?
Alors le législateur a-t-il voté la loi en vain ? N'était-il pas au courant des conditions des employées, hommes et femmes, après avoir passé 15 ans au travail, et pour les hommes : 21 ans.
Ce qui est de pire en pire dans le secteur de l'éducation, en particulier, c'est la détérioration des conditions dans lesquelles travaillent les femmes, les hommes, les enseignants et les employés du secteur, en raison de la détérioration des infrastructures, de l'entassement effarant de 70 hommes et femmes étudiants du département, selon la déclaration personnelle du ministre, et les maladies professionnelles dont ils souffrent du fait de pressions et de souffrances psychologiques, matérielles et sociales. Comment pouvez-vous permettre Le ministère s'est engagé à enfreindre la loi et à retenir les
femmes et les hommes éduqués qui ont passé au moins 25 ans en service - contre leur gré - beaucoup d'entre eux ont plus de 55 ans, et beaucoup d'entre eux souffrent de maladies professionnelles devenues chroniques et nécessitent des soins médicaux et du repos physique.
Le ministère ne traite ses employés que comme des chiffres locatifs sans tenir compte de leurs problèmes de santé, psychologiques et sociaux.
Et comment parler de réforme de l'éducation en l'absence du gouvernement allouant un budget qui se soucie des infrastructures et des ressources humaines qui sont l'épine dorsale de toute réforme, et des cursus et programmes en dehors des comptes politiques et financiers ?
Alors qu'est-ce qui pousse le ministère à émettre un mémorandum à cet égard, sachant que le directeur de l'académie est le chef d'un établissement public qui est devenu pleinement habilité à gérer ses ressources humaines et financières comme l'autorise la loi n°00. 07 Selon les termes de référence qui ont été délégués par l'administration centrale aux académies régionales d'éducation et de formation, qui ont été publiés au Journal officiel. Nous mentionnons, par exemple, mais sans s'y limiter :
Indemnités familiales (de toutes natures)
Retenue sur les salaires des employés Retraite
relative Nomination
ou dispense de cadres en charge de la gestion pédagogique
Caution
Démission
Arrêter des employés pour manquement aux obligations professionnelles
envers d'autres spécialités
Nous avons également renvoyer le Ministère à sa note de service n° 014749 du 15 novembre 2011 relative aux demandes de renvoi à la retraite relative pour l'année 2011.
Ou considère-t-il l'éducation comme un fardeau pour le budget de l'État, comme l'a déclaré le Premier ministre, et veut-il s'en débarrasser à tout prix ?
Dans l'attente des réponses à de nombreuses questions posées, et dans l'attente de la réponse requise du syndicat et des organismes intéressés par le secteur, nous appelons le ministère de l'Éducation nationale à revoir son mémorandum en : permettant aux académies d'exercer leurs pleins pouvoirs au
sein le cadre de ce que la loi les autorise à faire.
En permettant à tous les salariés féminins et masculins remplissant les conditions permises par la loi 71. 011 et dans la limite de 15% des postes budgétés pour chaque corps.

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